Après avoir cuisiné la chair de la pastèque, je me retrouve bien évidemment avec la peau dont je n'ai su quoi faire pendant des années.
Il faut dire que je n'en mange que depuis que la Sardaigne fait partie de ma vie. Auparavant, je trouvais que c'était un fruit insipide et sans intérêt. Peut-être que ces pastèques n'étaient tout simplement pas bonnes (maturité, transport, soleil,...).
En Sardaigne j'ai découvert le "vrai" goût de la pastèque. Délicat et très sucré, c'est un beau fruit à la texture fondante. J'ai donc développé une grande passion - et une grande consommation - pour l'anguria, ou la sindria comme on la nomme à Sassari. C'est aussi une manière rigolote de parler de la "brioche" des messieurs avec un certain embonpoint 😏